De .é a lei (neoliberal) do mais forte ... a 10 de Março de 2016 às 11:44
tb em França:
Manifs, greve e Movimento contra nova (projecto) lei (do governo PSF neoliberal) do trabalho.: «El Khomri»
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Amirshahi : «Si ce gouvernement peut partir, je ne m'en plaindrais pas»
Entendu à la radio.
Le député frondeur, qui a quitté vendredi le Parti socialiste, ira manifester parmi les étudiants cet après-midi contre le projet de loi travail.
Invité sur Europe 1, Pouria Amirshahi évoque sa déception envers l'exécutif :
«Si ce gouvernement peut partir, je ne m'en plaindrais pas car j'estime qu'il gouverne mal, qu'il gouverne brutalement.
Entre le fort et le faible, c'est la liberté qui opprime et la loi qui protège.
Pour la première fois, un gouvernement dit que la loi doit s'aligner sur la loi du plus fort.»

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Loi travail : une faute grave pour les étudiants
Organisation.
Lancée par des militants sur la Toile, avant de recevoir le soutien des principaux syndicats de salariés et de jeunesse (CGT, FO, FSU, Union syndicale Solidaires, Unef, UNL, FIDL), la journée de mobilisation d'aujourd'hui devrait donner la température pour les prochains jours. Nous avons traîné nos cahiers et nos stylos dans quatre universités, à Paris-VIII, Lyon-II, la fac de sciences de Montpellier et Sciences-Po Paris, pour voir comment les étudiants organisent la contestation contre le projet de loi de réforme du code du travail.

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Point météo.
Alexis Corbière, porte-parole de Jean-Luc Mélenchon, salue la mobilisation des lycéens, malgré les conditions météo peu favorables.

Malgré la pluie, le vent, le froid (0° degré ) près d'une quinzaine de lycées parisiens sont déjà en grève contre la loi #ElKhomri

09.03.16 Corbiere Alexis. @alexiscorbiere Suivre
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Aujourd'hui, de nombreux participants au mouvement contre le CPE se mobilisent contre la loi de réforme du code du travail : «Dix ans après le CPE, on nous propose de généraliser ce qu'on a combattu», note Sophie Binet, une ancienne de l'Unef.
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A midi, quelques milliers de personnes sont venues manifester à deux pas du siège du Medef, à Paris, sous les gros ballons et les drapeaux rouges FO et CGT, mais aussi FSU, Solidaires, Attac, et d'autres. Une heure trente plus tard, passées les prises de parole des têtes d'affiche, Mailly (FO) et Martinez (CGT), la manif n'avait toujours pas pris le départ, mais tout ce monde avait l'air ravi de se retrouver pour arpenter le pavé. Dans les rangs, beaucoup de syndiqués, comme Henri, retraité cheminot, là «parce qu'il a des enfants» et qu'«il a peur de la généralisation des petits boulots, alors que c'est déjà dur de vivre à Paris avec un Smic de 35h».

«Il est temps de se faire entendre pour dire non à la fragilisation des salariés», pointent Claire et Jean-Baptiste, respectivement professeur en lycée et collège, en Ile-de-France. Et d'ajouter: «signer une pétition en ligne, c'est bien, mais c'est dans la rue que ça se passe.» Nés en 1995, ils se souviennent avec enthousiasme des manifs contre le CPE et mêmes des grosses mobilisations de 1995. «Mais 95, ce n'est pas pour aujourd'hui, regrette Jean-Baptiste. Il y a quand même du monde là, mais dans nos classes, on ne sent pas une véritable prise de conscience».

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. «Avec des contrats courts pour tous, ça va être des contrats de location courts pour tous aussi, voilà le risque. Avec ce projet de loi, on revient même à avant les 39h, c'est quoi cette régression sociale !»,
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«On voit depuis pas mal d'années que le gouvernement socialiste passe des lois néolibérales à peine déguisées.
Il faut créer des comités de gréve et se mettre en connexion avec les travailleurs, en laissant de côté nos divergences sur la façon de militer, explique-t-il. Le fait qu'il y ait un mouvement assez fort aujourd'hui va inciter les gens à se bouger encore plus demain.»

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MOBILISATION
Manif du 9 mars: un «bon tremplin», selon la CGT

Mercredi, étudiants, lycéens et salariés ont défilé contre le projet de réforme du code du Travail. Un «point d'appui» pour la suite de la mobilisation, selon le syndicat de Philippe Martinez qui présentait, le matin-même, ses propositions pour «construire le code du Travail du XXIe siècle»

--RÉCIT
«Faites l’amour, pas des heures sup»

De Rennes à Toulouse, de Lille à Paris, plus de 200 000 personnes .


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